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Les facteurs clés de succès de la transformation des dirigeants

 

 

 

Les entreprises investissent des fortunes et souvent de nombreuses années pour former les dirigeants et managers. 

Par exemple, le remplacement d’un directeur général, après un départ soudain, coûte en moyenne 1,8 milliards de dollars aux entreprises américaines, en termes de valeur pour les actionnaires. 

Selon un cabinet d’études, près de la moitié des dirigeants reste moins de 18 mois après une promotion ou un changement de poste. Les recherches montrent que les dirigeants des organisations évoluent dans un environnement VUCA, qui signifie, « volatile, incertain, complexe et ambigu »

 

Lorsque les organisations entreprennent une transformation pour améliorer leurs performances visant à modifier fondamentalement la trajectoire d’une organisation, les études montrent que ces efforts échouent dans 70 % des cas.

 

En effet, l’état d’esprit compte dans les transformations. Le changement transformationnel exige des individus qu’ils se comportent différemment, ce qui signifie que les dirigeants doivent se pencher sur la façon dont les gens pensent et agissent dans leur travail quotidien. Influer comme un modèle qui inspirera les autres à adopter de nouveaux comportements.

 

 

Le leadership est probablement la partie la plus importante de ce défi. Les leaders amènent les personnes là où elles n’iraient pas autrement.

Le changement de transformationnel est difficile. Il n’y a aucun doute là-dessus.

Les leaders qui réussissent alignent leurs équipes derrière eux. Ils ciblent les anciennes mauvaises habitudes du passé et s’attaquent aux mentalités de l’organisation qui font obstacle à un changement fondamental. De cette manière, ils inclinent la balance en leur faveur et garantissent la réussite de leur transformation.

Selon les recherches, 40 % de la valeur d’une transformation réussie provient d’initiative de croissance, et non de diminution de coûts, de licenciements ou d’autres stratégies de réduction des effectifs. Les entreprises qui réussissent leur transformation ont, dès le départ, une mentalité ayant « tout compris ». (Les changements progressifs ne font pas partie de leur histoire). 

Il s’agit d’abord de s’assurer que l’entreprise dispose de la bonne direction dans chaque secteur d’activité et d’impliquer les employés à tous les niveaux de l’organisation.

Pour prospérer dans la nouvelle normalité, les entreprises doivent procéder à des changements plus fondamentaux, comme l’importance d’établir des objectifs ambitieux et une vision commune pour maintenir un haut niveau d’engagement parmi les dirigeants et à tous les niveaux de l’organisation.

Leadership

Le PDG est une personne qui cultive l’adaptabilité, qualité qui demande souplesse et décontraction, nécessaire pour lui et ses équipes.

Dans ces périodes incertaines, aux situations ambiguës dans lesquelles nous évoluons, une proximité avec ses collaborateurs est souhaitable.

Le leadership est probablement la partie la plus importante de ce défi pour un dirigeant.

Un axe de leadership est un style de management cohérent et explicite, non le reflet d’un style personnel. Cette distinction est capitale.

Dans les entreprises efficaces, le dirigeant adopte non l’axe qui convient le mieux à sa personnalité mais celui qui va le mieux aux besoins de son organisation, de sa transformation et de sa situation économique. 

Une autre qualité du dirigeant sera de décider rapidement, sans tergiverser : il est réactif et sûr de lui, de sorte que ses décisions ne sont pas remises en question.

Mais il n’en n’a pas toujours les capacités car trop souvent isolé dans une tour d’ivoire et, ou enfermé dans une charge mentale pesante.

Là encore Motivation Première intervient pour libérer le dirigeant afin de lui redonner ses pleines capacités d’action et de motivation. Rappelons que décider est un art.

Ses compétences techniques de gestion lui font faire les bons choix, tout en étant entouré de personnes compétentes.

Oui, un grand dirigeant sait s’organiser et s’entourer, notamment de managers.

Par ce biais nous arrivons sur une énième qualité importante du dirigeant, déléguer.

Cela lui procurera de l’efficience et lui évitera notamment de se surcharger, de s’épuiser, voire de subir un burn-out.

Alors qu’un cadre dirigeant est par définition préoccupé par l’intérêt général du groupe, le manager est garant des résultats de son équipe.

Il est un acteur clé dans la vie de l’entreprise. Il est le gage d’une équipe efficace et capable d’atteindre facilement les objectifs fixés. Principalement axé sur l’aspect humain, le management d’équipe nécessite des qualités motivationnelles en plus de compétences managériales.

La motivation, on en parle?

Voici les 5 facteurs de motivation au travail des Français, selon OpenSourcing

1 / Bien-être et conditions de travail

2 / Communication et management participatif

3 / La culture d’entreprise

4 / La formation

5 / La rémunération

La motivation est l’énergie qui active, oriente, dynamise et maintient le comportement d’un individu vers l’atteinte des objectifs et de les poursuivre.

Elle peut être une force interne, comme la volonté ou le désir, ou une force externe, comme la récompense ou la pression sociale.

La motivation est le moteur principal qui permet aux hommes et femmes d’entreprendre, aux équipes d’avancer, aux entreprises de s’adapter dans un environnement instable et en constante évolution.

En tant que leader, dirigeant ou entrepreneur, vous êtes les premiers concernés :

pour vous-même,
pour votre équipe,
pour votre société.

En l’absence de motivation chez les individus et les équipes, on constate qu’au sein des entreprises de nombreux dysfonctionnements sont générateurs d’incompréhension, d’absentéisme, de perte de sens, de stress, voire de Burn-Out, comme :

  • Des processus de décision complexes, peu transparents, et inefficaces
  • Des relations humaines marquées par des conflits, des harcèlements, voire une mauvaise gestion de l’organisation interne
  • Un sentiment de stagnation, de manque de reconnaissance, de perte de temps, de déploiement de grands efforts pour de petits résultats, etc.

Etre motivé, c’est puiser en soi l’énergie nécessaire afin d’être inspiré pour entreprendre un ensemble d’actions indispensables pour se transformer. En se transformant, on agit sur son environnement.

Et si vous mettiez plus de motivation en vous, dans votre carrière, dans votre entreprise ?

Motivation Première vous aide à y parvenir grâce au programme exclusif qu’elle met à votre disposition.